LA CONCEPTION THÉORIQUE
STRUCTURE ORGANISATIONNELLE DES GUIDES SPIRITUEL DANS LES CENTRE RELIGIEUX
Legimitaion et credibilité de marja’ é taqlid (source d’imitation)
Marja’ s’élu pas! Se paraître au fur et à la mesure :
Dans le chapitre précédant nous avons parlé sur les conditions et hiérarchie de la marja’iate, nous allons voir les relations entre les centres religieux et de leur rangs des marja’.
La Hawzeh émerge le marja’, celui auquel les croyants vont se référer en matière de préceptes islamiques. Sans élection ni procédure de désignation formalisée, mais en répondant à certaines conditions un Ayatollah deviens ayatollah ozma (grand ayatollah) ou marja’ é taqlid (source d’imitation), il doit faire partie des grands clercs exerçant l’Ijtihad (autorité théologique); les étudiants de la Hawzeh se présent pour écouter ses cours, tandis que ses pairs reconnaissent en lui la supériorité du savoir et d’autres qualités attendues pour assumer sa fonction. Certains militent, dans les cercles cléricaux, pour le promouvoir, et son nom circule de plus en plus. C’est pourquoi l’on dit que le marja’, émerge, peu à peu. Toutefois, il peut y avoir plusieurs marja’ en même temps et dans le même lieu, c’est au croyant de choisir, en toute liberté, celui qu’il suivra,
historiquement, le centre étude religieuse (Hawzeh) de Najaf est, la plus grande Hawzeh chiite et celle qui a donné les plus éminents marja’ , qu’ils soient arabes ou d’origine iranienne (comme le grand Ayatollah Abolghassem Khui ou Ayatollah Ali Sistani), ils se prétendent, avant tout, de l’école de Najaf. Toutefois, d’autres villes saintes peuvent voir aussi émerger des marja’, ce qui explique la concurrence qui s’exerce entre elles, surtout entre Najaf et Qom. La Hawzeh de Qom s’est développée à la faveur de la révolution iranienne, puis c’est le hawzeh de Najaf qui déclin. Elle s’est modernisée, est devenue un modèle suivi dans les écoles religieuse d’Iran, d’Irak, du Liban ou de la Syrie. En outre, des idées très réformistes circulent dans les milieux cléricaux et intellectuels iraniens, et Qom compte aujourd’hui un certain nombre de marja’ ayant pris leurs distances, plus ou moins clairement, avec la théorie de vilayat faghih (Souveraineté du Docte) et donc, distance avec les fondements de la pense d’ayatollah Khomeiny. La séparation entre le politique et la religion est l’un des axes des réflexions qui y sont menées.
En Iran, dans les année 1950 à 1975, cinq mareja’ subsistaient, soie en qualité d’être le seul référent ou de la qualité multiples d’une façon d’être de référence, deux ou même trois marja’ à la fois. Le cas de Khomeiny devenir référence ou marja’ est mêlé totalement avec probleme politique et finalement c’été les confirmation des quelque haut niveau des Ulamas qui determinait cette position à lui. Il falais rajouter en outre l’ evenement tres important de l’époque [1] pour que Khomeiny puisse reclamer les politique du gouvernement.
Les cinq plus haut marja’ en Iran de cette époque étaient:
1 Ayatollah Haji Agha Hossein Borojerdi (1882 – 1961 / 1299 – 1381)
2 Ayatollah Sayed Kazem Shariatmadari (1904 – 1986 / 1322 – 1406)
3 Ayatollah Sayed Mohammed Reza Golpayegani (1892 – 1993 / 1316 – 1414)
4 Ayatollah Sayed Shahab Al Din Marashi Najafi (1897 – 1990 / 1315 – 1410)
5 Ayatollah Sayed Rouhollah Mossavi Khomeiy (1902 – 1989 / 1319 – 1409)
Ensuit la solidarité des grand Ulamas en faveur de marjai’at de Khomeiny confirmé sa capacité de sa qualité, voici quelque avis:
Les avis des Ulemas en faveur de marjaiat Khomeiny [2]
La liste des avis des grands mojtahid en favor de marja’ é taqlid (Source d’imitation) de Rouhollah Khomeiny. Ces mojtahids sont: Ayatollah Hossei Ali Montazeri, Ayatollah Ali Meshkini, Ayatollah Mohammad Shariat esfahani (de Pakistan), Ayatollah Rabani Shirazi, Ayatollah Mohammad Movahedi Fazel, Ayatollah Hossein Noori, Ayatollah Nematollah Salehi Najafabadi, Ayatollah Ahmad Janati, Ayatollah Abolghasem Khazali, Ayatollah Yahya Ansari, Ayatollah Erahim Amini, Ayatollah Amid Jamehe Omieh (de Pakistan).
Parmi aux voici manuscrits quelque une en faveur de Khomeiny dans les 1970:
Avis de Ayaollah Hossein Ali Montazeri [3]
En considérant la qualité scientifique de hazrat (glorieux) Ayatollah Khomeiny , clairvoyant, s’évertuer et compétence de lui pour marja’iat et se porter garante le vulgaire de chiite en général pour moi c’est certain et sa propagation se trouve le bon pour islam et musulman.
Hossei Ali Montazeri
Avis de Ayaollah Ali Meshkini [4]
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Imiter de hazrat (glorieux) Ayatollah Khomeiny, est autorisé et c’est sent problème et il est sa propagation se trouve le bon pour islam et musulman.
Ali Meshkini
Avis Ayaollah Ali Meshkini [5]
Imiter de hazrat (glorieux) Ayatollah Khomeiny, est autorisé et c’est sent problème et il est sa propagation se trouve le bon pour islam et musulman.
Ali Meshkini
En Irak, malgré la grande indifférence entre les grand marja’ dans les année 1950 à 1975 les marej’ suivant coexistaient :
Ayatollah Mohammad Bagher Hakim (1939 – 2003 / 1358 – 1424)
Ayatollah Mohammad Bagher Sadr (1935 – 1980 / 1353 – 1400)
Ayatollah Aboul Qassim Al Khui (1899 – 1992 / 317 – 1413)
Ayatollah Sayed Ali Housseini Sistàni (né 1349 / 1930)
Ayatollah Sayed Sadegh Hosseini Shirazi (né 1941- 2001/1360-1422)
Ali Hojati Kermani écrit : “Dans le temps que nous étions à Najaf, j’ai beaucoup des mouvais souvenir au sujet de non cohabitation entre les tendance de pensé des marja’, un peu prés de même gendre de différence qui semblé à Qom après la mort de grand marja’ Ayatollah Boroujerdi, je me souviens également à Qom après la mort de Ayatollah Boroujerdi, en présence d’un grand marja’, Ayatollah Morvarid est monté sur le menbar(échelle) , et il disait qu’est ce ces publications et les distributions des risala amaliyyeh (des guide de droit canon) ? N’import ou on y va, je voie des differant risala … (risala amaliyyeh, le guide de droit canon)” [6] [1] – Le 8 octobre 1962, le conseil des ministres adoptait une ordonnance accordant le droit de vote aux femmes dans les élections des Conseils provinciaux et départementaux. Cette ordonnance supprimait en outre l’une des conditions à l’élection des futurs élus: être musulman. Le même jour, Agha Khomeiny se rendit à Qom pour participer chez Le Sheikh Abdolkarim Haéri, à une réunion dont il était l’initiateur, et à laquelle participaient également les ayatollahs Sha-riatmadari et Golpayegani. Au cours de la réunion, Khomeiny parvint à convaincre les grands ayatollahs d’envoyer un télégramme au shah pour demander l’annulation de l’ordonnance gouvernementale. Plus loin nous reviendrons sur l’insurrection du 15 Khordad 1342, 5 juin 1958.
[2] – voir également les telgraphes et des letres des marja’ confirmer ayatollah Khomeiny dans annex à la fin de cette ouvrage. [3] – Seyed Hamid Rouhani (Ziarati) “Nehzat emam khomeiny”, Sazmaneh entesharat Enghelabe eslami Tehran, 1964 /1364 p. 65 . [4] – Ibid p. 67 . [5] – Ibid p. 69 . [6] – Gholamreza Karbaschi “Tarikh shefahi enghelab eslami”, vol 2 sazmaneh entesharat Enghelabe eslami