Relation des guides spirituels
Dans le systeme clerical et en particulier entre les grands maraja’ il n’ y a pas des relations organisationnelles ni administratives, ce qu’il y a comme relation, c’est des relations particulier, defini uniqument au sein des environe des clergé, nous allons temoiner un peut sur ces relation:
Relation politique entre les centres
Hawzeh n’est pas une partie politique mais c’est un endroit de confiance pour les imitent [1] ?
Nous distinguons donc les chefs de partis, même enturbannés, avec autorités religieuses, et surtout des marja’, qui se placent au-dessus de la mêlée. Certes, les choses se compliquent pour les observateurs extérieurs, puisque certains marja’ gardent leurs distances vis-à-vis des affaires politiques, alors que d’autres s’y impliquent. Or le Hawzeh n’est pas une partie politique non plus, mais c’est notre leadership, disent les moqhaledin (imitateurs). dans les villes saintes. Par cette formule, ils ne réclament pas un Etat islamique, mais expriment leur attachement et leur confiance en Hawzeh, seule capable de garantir l’ordre, moral et social, dans les périodes de confusion. Or, qu’est-ce que la Hawzeh n’est pas seulement une école coranique qui est réservée aux enfants! et bien plus qu’une école religieuse. A cela peuvent s’ajouter de nouvelles sciences islamiques, qui sont le fruit d’un effort de catégorisation et de théorisation toujours en cours dans les milieux cléricaux chiites, comme l’histoire, la philosophie du droit islamique, l’étude comparée des religions, du droit positif, du droit islamique et des disciplines profanes, «modernes», ont été introduites et les écoles dispensent des notions de psychologie, de sociologie, ainsi que des cours de langue anglaise (au titre d’exemple dans le madrasse Haghani à Qom). C’est à dire combien on est loin de la simple école coranique, même à Najaf, qui reste relativement fidèle au système classique. D’autant plus que le troisième cycle du cursus consiste en controverses sur des questions de droit islamique, qui entraînent les étudiants à se forger un avis et à le défendre par l’argumentation. Les plus brillants se distinguent le professeur reconnaît alors leur habilité à exercer l’ijtihâd, élaborer les normes islamiques et à donner des avis, en se fondant sur les textes sacrés et en recourant à une méthodologie maîtrisée.
Hawzeh n’est pas un partie politique et il ne fait la politique, mais depuis toujours au l’ombre de l’état et dans le politique de gouvernement il a eu une rôle clé de la par de hawzeh. Avant la Révolution Iranien les maraja’ tentaient de se éloigné du system dominant de gouvernement car si entre aux quelqu’un se rapproche au pouvoir, au vu des autre marajé et aussi au vu du people se décréditaient. Avant la révolution Iranienne, visa vis des problèmes politique, les marja’ avaient trois genres d’attitude face à l’État:
- La participation totale à l’appareil étatique et la dépendance de celui-ci pour gagner leur vie. Habituellement considérés avec méfiance par leurs pairs, ces religieux étaient souvent désignés par des termes peu flatteurs, par exemple, «clergé de la cour», «prêcheurs du sultan».
- L’indifférence et la réserve. C’était la position adoptée par l’immense majorité du clergé chiite, surtout les grands marja’, comme ayatollah Marashi, Ayatollah Golpayegani ou Ayatollah Khui.
- L’opposition ouverte, qui était le fait de ceux qui luttaient contre l’État considéré comme une source de corruption et d’oppression pour prendre le pouvoir en contre partie. Ce sont eux qui entouraient l’ayatollah Khomeiny et qui sont maintenant au pouvoir.
Voila extrait de trois exemples précise, parmi les rencontre personnelle que j’ai fait avec les grand marja’ sur les question purement politique: [2]
Rencontre avec le grand Ayatollah Sayed Shahab-e-din Marashi Najafi. [3]
18 août 1978
Question: Est-ce que les étudiants en générale et les tollabs (étudiants théologie) en particulier ont le droit d’intervenir dans la politique ?
Réponse : (En montrant sa main, il disait:) Je ne rien avoir avec ces gendres des choses!
Question: En persistant sur la question, est-ce que les tollabs ont le droit d’intervenir dans la politique ?
Réponse : Je certifie que jusqu’au le jour où le principe des droits de l’homme existera, chaque individus, où qu’il soit dans le monde, quelque soit sa religion, ses croyance, il doit veiller et intervenir dans les droits sociaux et politiques des citoyens. Ces obligations sont des devoirs encore plus importants pour un guide religieux (marja)
Rencontre avec le grand Ayatollah Sayed kazem Shariatmadari. [4]
12 août 1978
Question: Est-ce que les étudiants en générale et les tollabs (étudiants théologie) en particulier ont le droit d’intervenir dans la politique ?
Reponses: Notre religion est l’Islam, notre politique est aussi la politique de l’Islam, un musulman ne peut pas être exclu de la surveillance des affaires des pays religieux, le clergé a une double responsabilité de surveiller car les Ulemas (savants) veulent être maîtres de charia’a (les lois islamique) de la délégation générale du peuple. « Les guides spirituels officiellement et aussi par
les règles religieuses ont le droit de déclarer non valable, s’ils constatent que ces règles sont contre islamiques. Il avertit ouvertement l’intervention des clergés dans le domaine de la politique. »
Rencontre avec le grand Ayatollah Sayed Mohammad reza Golpayegani. [5]
14 août 1978
Question: Est-ce que les étudiants en générale et les tollabs (étudiants théologie) en particulier ont le droit d’intervenir dans la politique ?
Réponse: C’est mieux pour les étudiants qu’ils suivrent leurs études, l’intervention dans le domaine politique sera après les études.
Question: Dans la situation actuelle ayan plusieurs marja’ é taqlid, un moghalid (imitateurs) doit suivre le quelle prescription?
Réponse: C’est à imitateurs de se renseigné pour choisir son propre marja’.
Rencontre avec le directeur de l’école Haghani Ayatollah Ahmad Jannati.
20 août 1978
Question: Est-ce que le tollab a le droit d’intervenir dans la politique ?
Réponse : Malheureusement, les responsables d’un pays musulman, un pays avec les lois islamique, un clergé, soient si loin de ces lois et, pour leurs intérêts personnels, ne s’engagent à aucune obligation et aucune fidélité de l’Islam.
Question : Après la manifestation sanglante en khordad 1342 (juin 1963) jusqu’au ce jour, il n’y a pas une résistance au sein du howzeh, comment vous analysez la situation?
Réponse : «Le responsable politique du pays ne fait pas de contrats avec les étrangers et les Koffar(les non musulmans). Il ne faut pas se moquer de la religion de peuple, du pays, ni de l’existence de la nation musulmane.» Parmi les obstacles qui se dressent devant les musulmans dans la défense de leur pays, il y a les vastes propagandes qui visent à montrer, toujours plus grands qu’elles ne sont, les puissances étrangers. Autrefois les pseudo intellectuels et diplômes, partisans de l’Occident, avaient fait de l’Angleterre un «monstre» pour pouvoir ainsi faire croire aux Etats ignorants et aux peuples asservis que l’Iran serait anéanti s’ils insultaient un simple domestique de l’ambassade d’Angleterre. Le drapeau de L’ambassade hisse sur le toit de n’importe quel coupable, L’exemptait du châtiment. Pour L’ambassadeur d’Angleterre, il suffisait de faire signe au gouvernement ou au premier ministre, et ses ordres étaient obéis sur L’heure. Aujourd’hui, dans les pays musulmans, ces deux puissances, notamment L’Amérique, sont considérées comme un «monstre» beaucoup plus grand que le précèdent; et ils pensent que, s’ils font la moindre remarque a L’un de ces deux pôles, le pays sera détruit. Par de pures illusions.
Question: Quelle est la solution, aujourd’hui? Quel est le devoir légal des musulmans et des opprimes dans la destruction de ces idoles?
Réponse : Une seule solution radicale s’impose, qui peut faire cesser a la base tous les problèmes et extirper le désordre: c’est L’unité des musulmans, ou plutôt de tous les mostaz’afms et des peuples exploites du monde. C’est sur cette unité que L’Islam et le Coran ont mise l’accent. En invitant et en propageant cette idée, cette unité devra se réaliser. Nous considerons un exemple très concrait, une conversation direct de Cheikh Ali Tehran avec le grand marja’ de l’époque Ayatollah Hossein Borojerdi (1875/1292 – 1961/1380) , alarment le danger de la politisation des marja’ :
Discoure de Cheykh Ali Tehrani [6] avec Ayatollah Boroujerdi [7]
Cheykh Ali Tehrani répéta dans un texte (en 1950), avec un groupe de clercs, il s’était adresse a Aayatollah Boroudjerdi (marja e taghlid de l’époque) et avait eu avec lui la conversation suivante :
Cheykh Ali Téhrani :
« Vous savez que le shah ne peut plus gouverner et que le gouvernement de Mossadegh lui-même est faible ; alors, pourquoi ne pas profitée Occasion pour former le gouvernement de la loi canonique ? »
Ayatollah Boroudjerdi :
«Nous ! Nous les clercs constituer le gouvernement de la loi canonique? »
Cheykh Ali Téhrani :
« Oui, pourquoi pas ? Croyez-vous que nous ne serions pas capables de prendre en main les affaires de l’Etat ? »
Ayatollah Boroudjerdi :
« Nous ! Nous les clercs, que nous formions un gouvernement !? »
Cheykh Ali Téhrani :
« Oui, il semble que l’occasion est favorable. »
Ayatollah Boroudjerdi :
« Mais nous serions cent fois plus sanguinaires et oppresseurs que ceux qui gouvernés actuellement (Shah). Allez vous occuper de vos affaires et ne vous laisser pas détourner par ces idées ! »
L’unité et Indifférence entre les guide spirituel
Durant de trois mois d’après la mort de grand Ayatollah Boroujerdi, avant de désignation un marja’, c’été les rumeurs qui circulent autour de hawzeh de Qom, parmi les rumeurs, c’été la désignation de Ayatollah Khansary qui était invité pour le marjait par Ayatollah Haeri de se déplacé de Tehran, venir à Qom pour accepter le responsabilité de marjaaiat. Mais cette invitation n’aura pas lieue.
A Qom, à Mashad, à Isfahan et d’autres ville saint, les Ulemas pensaient en absent d’un marja’; il y aura une risque que les jeun tollab choisir d’autre mouvement et ça sera un grave danger pour l’avenir de l’islam.
Au titre d’exemple pour faire prière à Najaf, à Qom, à Mashad et dans les grande ville saint, par exemple dans le grande mosquée de Goharshad [8], dans quatre coints de cette mosquée il y avais quatre Ayatollah différant qui se pose pour le prière collectives, ainsi ou Aastaneh Masoumeh [9] de Qom.
[1] – Sabrina-Mervin, chargée de recherches au CNRS Libération Le Jeudi 8 Mai 2003.
[2] – Voir les rencontre personnelle en détailles avec les cinq grand marja’ à la fin de cette ouvrage dans l’annexe II.
[3] – voir le bibliographie d’ayatollah Sayed Shahab-é-din Marashi Najafi dans annex à la fin de cette ouvrage.
[4] – voir le bibliographie d’ayatollah Sayed Kazem Shariatmadari dans annex à la fin de cette ouvrage.
[5] – voir le bibliographie d’ayatollah Sayed Mohammad reza Golpayegani dans annex à la fin de cette ouvrage.
[6] – Cheykh Ali Tehrani ostad (enseignant) de hawzeh elmieh de Mashad nord westd’Iran.
[7] – Abolhassan Banisadr, “L’Espérance trahie” S.P.A.G – Ed. Papyrus Paris 1982 Page 272.
[8] – Goharshad est le plus grand mosqué de Mashad: La ville de Pèlerinage chiite sacrifiant au goût prononcé des Iraniens pour les mausolées, rejoignez celui de l’illustre Ferdousi à Tous. la ville la plus sainte du pays ? C’est ici, à Sanabad, que l’Imam Réza, le huitième des douze imams chiites, a été assassiné et enterré, en l’an 817 de notre ère. Des millions de pèlerins arrivent ici chaque année. Le village s’est mué en ville et a pris le nom de Mashad, “la place du martyr”, ou plus exactement, Mashhad-é Moghaddas, “Mashad la sainte”.
[9] – Aastaneh Qom :La tradition veut que Qom soit le premier établissement chiite en Iran. Les Arabes chiites chassés de Koufa y seraient arrivés en l’an 712. Leurs croyances se seraient alors répandues vers l’ouest. L’importance religieuse du lieu fut scellée quand Fatima, la soeur de l’Imam Réza, y mourut. L’importance accordée à ce mausolée de femme n’est pas étrangère au besoin ressenti par les autorités iraniennes d’attirer dans leur pays les étudiants chiites des lieux saints irakiens, lesquels, pour des querelles .